
L’arrestation de M. Elionor Devallon, Directeur de la CAS, par la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ), suscite une vive indignation au sein de l’institution. Les employés dénoncent une décision arbitraire et illégale, qu’ils considèrent comme une manœuvre politique visant à l’écarter de ses fonctions.
Un climat de pressions et d’attaques
Depuis son installation en septembre 2024, M. Devallon aurait été la cible de multiples pressions et attaques, orchestrées par un groupe influent déterminé à compromettre sa gestion. Ses collaborateurs affirment qu’il a toujours agi dans l’intérêt de l’institution et qu’il dérange certains cercles en raison de son engagement à défendre la transparence et l’éthique au sein de la CAS.
Une arrestation contestée
Alors que M. Devallon demeure en détention à la DCPJ, les employés expriment leur colère et réclament sa libération immédiate. Selon eux, aucune raison valable ne justifie cette arrestation, qui s’apparente davantage à une instrumentalisation de la justice à des fins politiques.
Un appel à la mobilisation
Face à cette situation, les employés de la CAS n’entendent pas rester silencieux. Ils appellent les autorités compétentes à réagir et exigent que justice soit rendue. Ils préviennent également qu’ils n’hésiteront pas à intensifier leur mobilisation si leur requête n’est pas prise en compte rapidement.
Dans cette affaire, c’est le cabinet d’Arnel Rémy (ADVOCATUS LAW FIRM) qui assure la défense et promet de remuer ciel et terre, monts et marées, afin d’obtenir la libération du directeur Elionor Devallon.
L’affaire Devallon continue de susciter de nombreuses interrogations et pourrait prendre une ampleur encore plus importante dans les jours à venir.