Le Mouvement pour l’Intégration et l’Émancipation des Femmes Handicapées (MIEFH) continue de remuer ciel et terre pour trouver de bien meilleures formules, de méthodes et de stratégies efficaces et efficientes pour aider les femmes vivant avec un handicap quelconque à avoir une certaine autonomie et une autonomie certaine à travers tout le pays spécialement dans le département du Nord.
L’une de ses armes préférées ou encore l’un de ses chevaux de bataille les plus utilisés pour y parvenir est la formation, particulièrement la formation professionnelle. Ainsi, le mardi 14 Novembre 2023 dernier, il a lancé la deuxième phase du projet de formation professionnelle pour la promotion de l’autonomie des femmes handicapées.
Dans cette nouvelle phase, vingt (20) femmes seront formées pendant neuf (9) mois en Sérigraphie, Maquillage, Crochet et Canevas. Parmi cette vingtaine de bénéficiaires, il y aura très certainement, selon les dirigeantes de MIEFH, des femmes qui vivent avec un Handicap, celles qui sont aussi épouses ou mères d’un homme ou d’un enfant handicapés ou ayant une déficience.
Le projet est financé par XOESE et ses multiples partenaires notamment le Fonds pour les Femmes Francophones. Il faut dire que ledit projet a démarré au cours du mois d’août de cette année et prendra fin en avril 2024.
Les coordonatrices du Mouvement pour l’Intégration et l’Émancipation des Femmes Handicapées demandent aux bénéficiaires de s’armer ou de redoubler de courage, de persévérance et d’abnégation pour suivre le programme du début à la fin. Elles leur demandent également de rester motivées et d’être focus sur l’objectif qui est de promouvoir et de renforcer leur autonomie surtout financière et économique.
À propos, elles se réjouissent amplement du déroulement de la première phase du projet. En tout cas, elles promettent de continuer de travailler sans relâche avec ses différents partenaires afin de trouver de nouveaux projets de formation du genre pour les femmes handicapées. Ce, pour leur offrir de nombreuses opportunités et leur permettre, croient-elles, d’être mieux intégrées et mieux émancipées.